Chantier versus résultat final | Vision

Augmenter ses minutes riches et heureuses pour qui pour quoi ? Et si c'était pour notre bien-être intérieur, notre sourire au réveil le matin, pour nourrir notre taux vibratoire, notre énergie vitale positive, et notamment pour notre contribution au monde ? Chantier versus résultat final Lorsque je participe à mon projet du moment, quelle impression m'habite ? J'utiliserai ici l'exemple d'un briqueteur : 1. - être payé 16 $ de l'heure à poser des briques, criss de tabarnack ? 2. - accomplir mon devoir, rendre le travail fait, et gagner ma vie à 16 $ de l'heure puisque j'ai été éduqué ainsi ?

3. - prendre part à la construction de la plus belle cathédrale du monde ? Transposez ici le mot cathédrale par construction qui vous inspire et fait le plus écho en vous. Quelques idées de sites spectaculaires bâtis par l'homme peuvent nourrir la réflexion. L'état de chantier versus le résultat final sont ni plus ni moins deux images totalement différentes, mais c'est de cela dont il s'agit ici : de vision. Que suis-je en train de bâtir ? À quoi je contribue ? La vision et l'état dans lequel je bâtis importent. Mon « pourquoi je le fais » contribue à ce projet. Ces éléments détermineront beaucoup plus qu'un salaire hebdomadaire, à mon humble avis.

La grande rose de la Cathédrale de Reims

​Détail de la grande rose de Reims

Que sommes-nous venus faire ici, sur la merveilleuse planète terre ? La question que plusieurs se posent. C'est légitime. J'entends tout autour de moi que l'être humain souhaite donner un sens à sa vie - c'est d'ailleurs ce qui nous distingue de l'animal. Je sais que certains se diront « je suis en survie, inutile de me parler de vision. Je veux payer le loyer - point à la ligne ». Je comprends. J'étais dans cette zone aussi, longtemps, trop longtemps. Cela dit, ma vision m'a aidé à bâtir autre chose. Je souhaite que ces quelques mots redonnent espoir. Je sais ce que c'est que de se demander comment faire pour payer le loyer. Oui, l'idée est de solidifier cette étape, assurer la sécurité est la base. Alors, bâtissons « la plus belle cathédrale du monde » à temps partiel, à travers ce que l'on fait déjà ! Voici les questions que je me pose aujourd'hui avant de dire oui à un projet, avant d'entamer le pas, avant de manifester un intérêt quelconque - est-ce que cela s'inscrit dans ma vision de bâtisseuse de ma mission ? Est-ce que j'ai l'impression que cela correspond à ajouter une brique de plus à mon projet de « cathédrale » que je bâtis brique par brique ?

Quand je suis mon esprit, mon coeur, mon être, mon corps, je suis critiquée Vous aussi il vous arrive d'être critiqué ? « Le monde est rempli de gens qui vont vous dire pourquoi vous ne pouvez pas être riche et heureux. Ignorez-les tous. C’est votre vie, pas la leur. Utilisez l’osmose positive par association et entourez-vous de gens qui croient en vous, incluant ceux qui vivent déjà leur vie riche et heureuse. »

Une minute riche et heureuse fait référence à transformer les minutes accablantes en minutes heureuses finalement : - les maux en bien-être, - les peurs en confiance, foi, paix intérieure, - les énergies basses en énergies positives, à un taux vibratoire élevé,

- etc. Par exemple, voici quelques passages formidables du livre Riche et heureux mettant en lumière plusieurs exemples de réussites ayant nécessité persévérance, puisqu'en apparence peu de gens d'influence croyaient en leur idée, potentiel, capacité de réussite, vision. Peu supportés dans la réalisation de leurs idées de génies, ils ont choisi de poursuivre, guidés par leur vision. Je débute avec deux exemples de femmes qui, à mon sens, sont de réelles inspirations quant à la notion de courage. Notamment pour s'être tenues droites malgré l'épreuve, pour avoir mis le focus sur leur vision et non sur les cailloux sur leur route. Ces faits historiques font voyager l'esprit vers la possibilité de réussite :

« Rosa Parks, considérée comme la mère des droits civils aux États-Unis, a ignoré les mœurs qui lui assignaient une place dans l’autobus selon la couleur de sa peau. J.K. Rowling, l’auteure de la série Harry Potter, a ignoré les douze éditeurs qui ont refusé son manuscrit original. Elle vendit tout de même plus de quatre cent millions de livres et devient la première femme à présenter une valeur nette d’un milliard de dollars sans avoir hérité. »

D'autres magnifiques histoires y sont détaillées, de purs exemples de dévotion, de persévérance, de confiance en l'invisible. À noter que celles d'Eiffel et de Horn sont absolument captivantes. Je vous invite à les découvrir dans le chapitre « Ignorer la plupart des gens » du livre Riche et heureux.

« [d'autres] exemples de gens qui ont dû ignorer les autres pour réussir.

Roger Bannister, le premier à avoir couru 1,6 kilomètre en mois de 4 minutes, n’a pas écouté les scientifique qui lui disaient qu’un tel exploit était impossible.

Les Beatles ont persévéré et ont vendu des milliards de disques. Pourtant, le directeur des disques Decca A & R leur avait mentionné qu’un groupe de guitaristes n’était plus à la mode.

Barack Obama refusa d’accepter l’idée qu’un Afro-Américain ne puisse jamais être élu comme président.

Jim Abbot ignora ceux qui lui disaient qu’un homme avec un seul bras ne pourrait jamais jouer dans les ligues majeures de baseball. Il leur prouva le contraire en remportant le plus de victoires pour une recrue de toute l’histoire de ce sport.

L’équipe jamaïcaine de luge n’a pas écouté ceux qui lui racontaient qu’elle ne pourrait jamais aller aux Jeux olympiques.

Walt Disney ignora les commentaires selon lesquels construire un parc thématique sur un marécage était une idée de rêveur. Il a aussi ignoré les avis de plus de cent banques qui avaient poliment refusé de lui prêter l’argent pour le construire. »

L’encouragement est l’oxygène de l’âme C'est pourquoi, ton souffle de titan va nous être d’une grande aide. « Comme le croyait sa mère « l’encouragement est l’oxygène de l’âme ». Tous ceux qui ne pensent pas ainsi sont ignorés. » Effectivement, les impressions des autres ne devraient pas influencer notre ressenti - pourquoi l'autre, en l'occurence quelqu'un qui n'a pas particulièrement atteint notre idéal de vie, saurait plus que nous-même, plus que notre propre analyse, ressenti, ce que nous avons à accomplir, ce qui est bon pour nous ? Tout de même étrange que plusieurs personnes osent interférer leur jugement personnel qui les renvoie, entre autre, à leur propre échecs, mode de vie, réalité. Car, rares sont les moments où ces personnes célèbreront ou souligneront nos victoires. Dommage, que les insatisfactions personnelles, l'égo, les projections soient renvoyées sur quelqu'un ayant eu une noble idée. J'aime me rappeler que nous devenons la somme des cinq personnes qui nous entourent. À qui ai-je envie de ressembler ? Et, à qui vais-je me coller ? Le retour du balancier Une parole positive peut faire naître la vie. Une parole négative entraîne parfois des ralentissements dans l'éclosion d'un projet précieux, et ce, peu importe la destinée de ce projet. Qui sommes-nous pour juger de ce projet ? Qui suis-je pour décider de la viabilité ou non d'un projet ? Ce poème de Victoire Hugo intitulé Le mot enseigne bien le retour du balancier lorsque l'on a mauvaise langue :

Braves gens, prenez garde aux choses que vous dites ! Tout peut sortir d'un mot qu'en passant vous perdîtes ; TOUT, la haine et le deuil ! Et ne m'objectez pas Que vos amis sont sûrs Et que vous parlez bas... Écoutez bien ceci :

Tête-à-tête, en pantoufle, Portes closes, chez vous, sans un témoin qui souffle, Vous dites à l'oreille du plus mystérieux De vos amis de cœur ou si vous aimez mieux, Vous murmurez tout seul, croyant presque vous taire, Dans le fond d'une cave à trente pieds sous terre, Un mot désagréable à quelque individu. Ce mot - que vous croyez que l'on n'a pas entendu, Que vous disiez si bas dans un lieu sourd et sombre - Court à peine lâché, part, bondit, sort de l'ombre ; Tenez, il est dehors ! Il connaît son chemin ; Il marche, il a deux pieds, un bâton à la main, De bons souliers ferrés, un passeport en règle ; Au besoin, il prendrait des ailes, comme l'aigle ! Il vous échappe, il fuit, rien ne l'arrêtera ; Il suit le quai, franchit la place, et cætera Passe l'eau sans bateau dans la saison des crues, Et va, tout à travers un dédale de rues, Droit chez le citoyen dont vous avez parlé. Il sait le numéro, l'étage ; il a la clé, Il monte l'escalier, ouvre la porte, passe, entre, arrive Et railleur, regardant l'homme en face dit : "Me voilà ! Je sors de la bouche d'un tel."

Et c'est fait. Vous avez un ennemi mortel.

Je vous souhaite une journée douce, empreinte de magie, remplie de connexion avec votre propre guidance,

Reishi ninja girl #SL

-- Source P. Strelecky, John, et Brownson, Tim (2011), Riche et heureux, Le Dauphin Blanc inc.